Stuart

Une K-Ryole fait une moyenne de 25 km par jour. Elle transporte alors entre 40 et 60 bacs quotidiennement. Sachant que chaque bac pèse entre 15 kg et 20kg... Chaque K-Ryole transporte entre 600 kg et 1 tonne par jour !

Paul-Ambroise Archambeaud Directeur Pickup - Stuart.

Stuart découvre notre concept d’intelligence embarquée lors d’une exposition dédiée à l’innovation organisée au siège du Groupe La Poste.

Avec son nouveau moyen de logistique responsable, Stuart livre les courses alimentaires au départ de magasins tels que Monoprix, Auchan, Carrefour et Naturalia. Chaque K-Ryole transporte entre 600 kg et 1 tonne par jour !

 

Découverte de l’angle opérationnel – Témoignage de Stéphane Mortessagne, directeur des opérations chez Pickup Logistics

 

« PickUp Logistics, c’est l’entreprise de livraison de courses alimentaires du dernier kilomètre. Au début de l’aventure, il y a un an et demi, notre pic de livraison du samedi comptait 180 vans en déplacement. Aujourd’hui, pour le besoin client d’une logistique verte, nous avons développé la livraison piétonne et en remorque électrique K-Ryole. Alors que les commandes ne font qu’accroitre, nous comptons au maximum 20 vans sur les routes ; le reste étant livré par 54 K-Ryole. »

 

Comment s’est passée la transition de l’outil de logistique : du van à la K-Ryole ?

« Au début, les livreurs n’étaient pas partants pour arrêter la livraison en véhicule. En effet, c’est un grand changement de passer d’un van à un vélo. Seulement, après trois semaines d’utilisation, ils étaient conquis. Grâce à la vélo-logistique, les opérationnels n’ont plus de problèmes pour circuler et stationner. Vous ne pouvez pas imaginer combien de livreurs se sont retrouvés au chômage à cause de la perte de leurs points de permis… »

 

Pourquoi avez-vous choisi K-Ryole plutôt qu’un Véhicule Utilitaire Léger (VUL) électrique ?

« Tout simplement parce que le VUL électrique ne répond pas à nos besoins. Tout d’abord, c’est complexe à recharger. Ensuite, il ne répond pas à la difficulté grandissante de circuler dans les grandes métropoles françaises. En terme opérationnel, quand on ne dépasse pas les trois kilomètres, c’est beaucoup plus intéressant avec une K-Ryole. D’ici le premier trimestre 2021, nous aurons une flotte de plus de 150 remorques électriques K-Ryole. »

 

Vous avez cru au projet K-Ryole très tôt, alors que le produit n’était pas encore totalement développé pour le terrain. Pourquoi avoir pris ce risque ?

« Nous voulions être les premiers à profiter des nouvelles technologies. En créant un partenariat avec K-Ryole, nous étions sûrs de développer une apport « gagnant-gagnant ». C’est-à-dire qu’en les utilisant sur le terrain, nous remontions les besoins et problématiques du marché. En retour, la société K-Ryole et son bureau d’étude faisaient évoluer le produit. Ainsi, une remorque électrique créé par et pour les professionnels du retail et de la livraison des colis voit le jour. En ce moment, nous travaillons sur la galerie de toit et le renfort du module. »

 

Une conclusion ?

« En utilisant K-Ryole, nous avançons pour notre démarche de développement durable. Nous gagnons en productivité ainsi qu’en rapidité. En somme, c’est combiner une réponse au besoin client comme au besoin opérationnel. »